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Sujet: Monsieur James Butler Hickok Sam 12 Mai 2012 - 12:46
Salut à tous, c'est mon personnage Old West ,pour lequel j'ai une "tendresse particulière". Né en 1837à Troy Crowe dans l'illinois. Il qui quitta le foyer familliale tres jeune.Chasseur de bisons il fut attaqué par un ours qui le blessa grièvement à une jambe.Il refusa l'amputation et ne retrouva la mobilité de son genoux qu'apres six mois de convalescence. Il était successivement ,conducteur de chariot pour la CIE WELLS FARGO,éclaireur pour l'armée Nordiste,Shérrif à Hays city et Marshall d'Abilène.Il s'était marié en avril 1876 avec Agnes Lacke une commédienne.Mais les grands éspaces lui manquaient probablement et il décidat en Mai de rejoindre Deadwood Gulch dans le Dakota du Sud. Le colonel Custer escortant des géomètres qui étaient chargés du tracé pour le chemine de fer en 1873 y trouva du minerai d'or.De retour d'expédition il en fit part aux autorités et les chercheurs d'or se ruèrent dans les Blacks Hills territoir sacré des Sioux.Ainsi naquit Deadwood. En court de route il rencontra Calamity Jane et ils firent le chemin ensemble. Joueur de cartes invétéré il fréquenta tout les tripots de la ville naissante.Son endroit favorit était le saloon N°10 de nutall & Mann. Le deux Aout ,apres une conversation avec le maire de la ville,il était en retard pour sa partie de cartes .Il avait pour habitude de de se mettre dos à un mur pour pouvoir surveillr la salle,mais ce soir là la place était prise. il se mit à la table en tounant le dos à la salle. Au cout du jeu,un individu du nom de jack Mac Call en profita pour s'approcher de lui et lui tirer une balle dans la nuque. la mort fut instantannée.Son ami Charly Hutter se chargea de son enterrement.Il avait en main ,une paire d'as noirs,une paire de huit noir la cinquième carte n'est pas connue.depuis ce jour on appelle ça "la main de la mort"Son assassin fut pendu un an plus tard.Calamity jane tres affectée donna le nom de Connaray Hickok à sa fille qu'elle eut quelques mois plus tard.ce qui lança la rumeur que c'était la fille de Wild Bill....
Général Lawrence Sisco Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Sam 12 Mai 2012 - 18:41
je ne connaissais pas ces détails, merci Freddy.
chatto
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 13 Mai 2012 - 7:32
tres grand personnage mythique mrci pour les détails mac
Général Lawrence Sisco Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 13 Mai 2012 - 11:53
Mac, y aurait-il un livre ou un article détaillé sur sa vie disponible soit en ligne, soit en livre ?
mac lean Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 13 Mai 2012 - 12:35
Général Leroy A. Stone a écrit:
Mac, y aurait-il un livre ou un article détaillé sur sa vie disponible soit en ligne, soit en livre ?
Sur you tube il y a des videos.ensuite ,comme je ne suis informatisé que depuis 3 ans j'ai beaucoup tiré des livres. "les tireurs les plus rapides de l'ouest"ou marshall et sherrifs de l'ouest.il y a surement une biographie,il faudrait fouiner. Si un jour il y une"bourse aux armes " dans ton coin vas y,il y a des stands qui sont spécialisés dans ce genre de bouquin. personnellement je n'en possède pas,je les emprunte à un ami. Mac.
mac lean Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 13 Mai 2012 - 12:37
Mac Lean a écrit:
Général Leroy A. Stone a écrit:
Mac, y aurait-il un livre ou un article détaillé sur sa vie disponible soit en ligne, soit en livre ?
Sur you tube il y a des videos.ensuite ,comme je ne suis informatisé que depuis 3 ans j'ai beaucoup tiré des livres. "les tireurs les plus rapides de l'ouest"ou marshall et sherrifs de l'ouest.il y a surement une biographie,il faudrait fouiner. Si un jour il y une"bourse aux armes " dans ton coin vas y,il y a des stands qui sont spécialisés dans ce genre de bouquin. personnellement je n'en possède pas,je les emprunte à un ami. Mac.
le "post sur Hickok je l'ai fait de mémoire.Sur mon site j'ai narré son histoire et celle de calamity jane.
Général Lawrence Sisco Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 13 Mai 2012 - 16:57
[quote="Mac Lean"]
Mac Lean a écrit:
Général Leroy A. Stone a écrit:
Mac, y aurait-il un livre ou un article détaillé sur sa vie disponible soit en ligne, soit en livre ?
le "post sur Hickok je l'ai fait de mémoire.Sur mon site j'ai narré son histoire et celle de calamity jane.
Merci, Freddy, j'y vais de ce pas, sur ton site je n'avais pas vu cette histoire de W B H .
mac lean Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 13 Mai 2012 - 17:00
[quote="Général Leroy A. Stone"]
Mac Lean a écrit:
Mac Lean a écrit:
Général Leroy A. Stone a écrit:
Mac, y aurait-il un livre ou un article détaillé sur sa vie disponible soit en ligne, soit en livre ?
le "post sur Hickok je l'ai fait de mémoire.Sur mon site j'ai narré son histoire et celle de calamity jane.
Merci, Freddy, j'y vais de ce pas, sur ton site je n'avais pas vu cette histoire de W B H .
J'ai un film sur dvd de hickok ,je peux te l'envoyer,si tu veux
Général Lawrence Sisco Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Lun 14 Mai 2012 - 6:51
C'est sympa Freddy, quel est sont titre, je l'ai peut être déjà ?
mac lean Admin
Messages : 3253 Date d'inscription : 18/04/2011 Age : 76 Localisation : Haguenau.67
Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Mar 15 Mai 2012 - 7:38
Général Leroy A. Stone a écrit:
C'est sympa Freddy, quel est sont titre, je l'ai peut être déjà ?
C'est:WILD BILL avec Jeff Bridges et Ellen Barkin.
Général Lawrence Sisco Admin
Messages : 4603 Date d'inscription : 15/01/2012 Age : 62 Localisation : au Sud... (de l'Eure et Loir)
Tu pourrais être Suisse...Si James voit cette photo il va se retourner dans sa tombe...
Général Lawrence Sisco Admin
Messages : 4603 Date d'inscription : 15/01/2012 Age : 62 Localisation : au Sud... (de l'Eure et Loir)
Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 30 Déc 2012 - 14:06
Révélation : L'ancêtre de Barack Obama, Wild Bill Hickok. Source : Le Point
Pour autant, Wild Bill Hickok n'est pas entièrement mort. Il s'est réincarné en effet dans un glorieux descendant. Un homme qui a flingué tous ses adversaires avec le sourire. Le mec le plus cool de la planète : Barack Obama. En 2008, le président des États-Unis a révélé qu'il descendait de Wild Bill Hickok par sa mère.
Précision de Leroy : Pas descendant directe mais cousin au sixième degré, tout de même !!!
Ces menteurs de westerns laissent croire que les cow-boys passaient leur temps à boire du whisky, à massacrer de l'Indien et à se battre en duel. Foutaise hollywoodienne ! Les garçons vachers du Nouveau Monde se contentent de mener leurs bêtes, de dormir à la belle étoile et de se bourrer de bière à l'étape. Les bagarres sont sans doute fréquentes parmi eux, mais les duels au pistolet très rares. Et quand deux gars en colère s'affrontent, ils évitent de se faire face durant de longues minutes avec un type qui joue de l'harmonica dans un coin. Ils sont cow-boys, mais pas entièrement crétins : quand ils s'envoient des pruneaux, ils offrent leur profil à l'adversaire pour réduire la surface d'exposition.
L'un des plus célèbres duels de l'Ouest oppose Wild Bill Hickok, 28 ans, à son ami Davis Tutt, à Springfield (Missouri), le 21 juillet 1865. Jusque-là, Wild Bill a exercé divers petits boulots : conducteur de chariot, flic dans les bars, éclaireur pour l'armée. Quatre ans plus tôt, il a démontré son adresse au tir et son sens de la justice en défendant des amis dans une bagarre où il tue son premier homme. À l'époque du duel, Hickok gagne sa vie en tant que joueur professionnel. Le 20 juillet, il est justement assis à une table de poker au Old Southern Hotel (à moins que cela ne soit au Lyon House), tandis que Davis observe la partie. Tous deux se connaissent bien, et s'apprécient même, pour avoir souvent joué ensemble. Tutt est lui aussi un bagarreur, et a la réputation d'être un tireur d'élite. Mais ce soir, les deux hommes ne semblent pas les meilleurs amis du monde. Les sourires qu'ils s'adressent ressemblent à ceux de Fillon et de Copé. Pour agacer Wild Bill, Davis prend un malin plaisir à soutenir ses adversaires et leur prête même quelques dollars pour les aider à miser contre lui. Wild Bill ne dit rien. Il conserve son sang-froid. Dans un western, il aurait déjà logé une balle dans la tête de Tutt, sifflé une bière, descendu le shérif, embrassé la prostituée du saloon forcément amoureuse de lui et enfourché son cheval. Dans la vraie vie, il se borne à poursuivre le jeu, d'autant qu'il enchaîne les mains gagnantes. Le voilà à la tête d'un bon paquet de fric, environ 200 dollars. Provocation
C'est alors que Tutt lui rappelle une dette de 40 dollars, provenant de la vente d'un cheval. Hickok opine et allonge les billets. Mais Tutt n'est pas satisfait, il exige maintenant 35 dollars pour rembourser une dette de jeu. Cette fois-ci, Wild Bill conteste le montant de la somme. Ce n'est pas 35 biftons qu'il doit, mais 25. Ne lui a-t-il pas déjà rendu 10 dollars ? Tutt, qui cherche la bagarre, maintient son exigence. Hickok ne perd pas son calme et propose à son interlocuteur de descendre au rez-de-chaussée pour qu'il puisse récupérer le carnet où il note ses dettes. Un scénariste d'Hollywood qui présenterait un tel scénario se ferait immédiatement lourder. Devant les autres joueurs attentifs à la dispute, Tutt veut jouer au dur. Il s'empare de la montre à gousset que Hickok vient de poser sur la table et lui dit que, pour la récupérer, il devra lâcher 45 dollars, et non plus 35. Suprême humiliation. Une fois de plus, Wild Bill reste stoïque, le laissant quitter la salle avec sa montre. Il se borne à lui faire dire de rapporter l'objet et d'accepter les 25 dollars dus. Sinon, dit-il, "quelque chose va être fait".
Le lendemain matin, les deux hommes se rencontrent par hasard sur la place publique de la ville. Il semble que Tutt porte la montre d'Hickok à son gousset alors que celui-ci l'avait prévenu de ne pas le faire... Avec calme, Wild Bill s'adresse à son ami : "N'importe qui d'autre en ville t'aurait causé des problèmes pour moins que ça, alors que c'est pas la première fois que je t'emprunte de l'argent, et nous n'avons jamais eu de dispute." Pourquoi, à ce moment, Tutt n'accède-t-il pas à sa raisonnable demande ? Mystère. Certains témoins ont évoqué une histoire de femme ou encore un pressant besoin d'argent pour régler une amende.
Tutt s'éloigne vivement d'Hickok. Il n'a jusque-là pas été question de duel. Les deux hommes sont à 120 pas l'un de l'autre. Se sentent-ils mutuellement en danger ? Tutt se retourne et, tout en restant de profil, empoigne son révolver et tire. Wild Bill, qui l'observait, s'est également mis en position et tire au même moment. Les deux balles se croisent sans avoir le temps de se saluer. Celle de Tutt se perd dans le décor. Celle de Hickok pénètre, selon le rapport d'autopsie, dans le côté droit de sa cible, entre la cinquième et la septième côte. L'homme titube. Avec l'air d'un Sarkozy découvrant les résultats du second tour, il lance à ses potes qui regardent la scène : "Mecs, je suis mort." Il fait quelques pas avant de s'écrouler sur le sol. Wild Bill Hickok se retourne vers les mêmes potes pour les prier, pistolet à la main, de ne pas faire de bêtises. Acquittement
L'affaire ne s'arrête pas là. Le vainqueur du duel doit affronter le tribunal. Le 6 août 1865, Hickok est acquitté pour légitime défense après trois jours de procès. En 1868, un article racontant le duel et attribuant une centaine de victimes à Bill Hickok en fait une légende nationale. En réalité, il n'a été mêlé qu'à trois autres duels dont il est sorti vainqueur. Il devient éclaireur pour l'armée, puis est élu shérif du comté d'Ellis (Texas). En 1873, il se produit même dans le cirque de son ami Buffalo Bill Cody. Sa vie s'achève à 39 ans, à Deadwood, dans le Dakota. Abattu dans le dos ! Cela se passe le 2 août 1876. Il vient de s'asseoir à une table de poker au Number Ten. D'habitude, il prend la précaution de s'installer dos au mur, mais, ce soir-là, il occupe la dernière place libre, dos à la porte arrière du saloon. Il ne voit pas s'approcher un jeune homme nommé Jack McCall qui s'arrête derrière lui pour lui coller froidement une balle dans la tête. Lors de son procès, le jeune assassin invoque une vengeance et échappe ainsi à la corde.
Pour autant, Wild Bill Hickok n'est pas entièrement mort. Il s'est réincarné en effet dans un glorieux descendant. Un homme qui a flingué tous ses adversaires avec le sourire. Le mec le plus cool de la planète : Barack Obama. En 2008, le président des États-Unis a révélé qu'il descendait de Wild Bill Hickok par sa mère.
Dernière édition par Général Leroy A. Stone le Dim 30 Déc 2012 - 14:14, édité 2 fois
Général Lawrence Sisco Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 30 Déc 2012 - 14:11
WILD BILL OBAMA's Western News
I liked this news story which I've just read in the December issue of Wild West Magazine:
In a speech in Springfield, Mo . in July Barack Obama claimed that he was the sixth cousin, six times removed of Wild Bill Hickock.
Obama said -'Family legend states that Wild Bill Hickock and I share common ancestry with Dutch immigrant Thomas Blossom."
The New England Historic Genealogical Society have confirmed that Obama and Hickock are sixth cousins. However it must be pointed out that Hickock was a staunch Republican. And the research into Obama's family tree also revealed that the politician and Brad Pitt are ninth cousins.
Genealogist Chris Child, of the New England Historic Genealogical Society, confirmed the ancestry. Obama and Hickok are sixth cousins, six times removed. Their common ancestor is Thomas Blossom, who came to Plymouth, Massachusetts, in 1629 from Holland. Jacob Dunham, Obama's fourth great-grandfather, was sixth cousins with Wild Bill.
Dernière édition par Général Leroy A. Stone le Dim 30 Déc 2012 - 14:17, édité 1 fois
mac lean Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 30 Déc 2012 - 14:14
D'apres ce que j'ai lu, c'est la mère de georges Bush qui est apparentée à Hickok,la ressemblance entre sa mère et Busch est flagrante..A valoir ce que de droit.Mac
Général Lawrence Sisco Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 30 Déc 2012 - 14:20
C'est certain et Obama n'est que cousin au sixième degré...
Oui je la connais,ça montre bien le bourbier que c'était...
Général Lawrence Sisco Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Sam 8 Mar 2014 - 6:00
The Real Wild West 3/6 - Wild Bill Hickok 1837-1876
Général Lawrence Sisco Admin
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Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Lun 12 Jan 2015 - 11:47
Wild Bill Hickok PAR ERIC VEILLETTE le 24 AVRIL 2012
Wild Bill à l’époque où il travaillait en tant qu’éclaireur. À noter la position particulière qu’il avait de porter ses revolvers, les crosses pointées vers l’avant. Et pourtant, on le disait imbattable sur le plan de la vitesse. Le 27 mai prochain marquera le 175ème anniversaire de naissance de l’un des plus respectés représentants de l’ordre de toute l’histoire américaine du 19ème siècle. Cet incorruptible au corps athlétique de 6 pieds et un pouce était aussi reconnu pour sa nonchalance et son intransigeance. Il détestait la publicité et pourtant son nom s’est gravé à jamais au sommet de l’époque du Far West.
Né à Troy Grove, en Illinois, le 27 mai 1837, c’est de son père que James Butler Hickok aurait appris le respect de la justice. Avant même la Guerre de Sécession, son père aurait contribué à la libération de plusieurs esclaves noirs par sa participation à un réseau clandestin. Pour lui, la liberté n’avait pas de couleur de peau.
À 18 ans, après la mort de son paternel, James B. Hickok quitta son État natal pour l’Ouest. Rapidement, on le retrouva à travailler comme camionneur sur les plaines, une région contrôlées en partie par de nombreuses tribus indiennes. C’est d’ailleurs dans un campement de camionneurs, un soir, que Hickok aurait rencontré pour la première fois celui qui allait devenir son ami de toujours : William F. « Buffalo Bill » Cody.
Cody était son cadet de 9 ans. Lorsqu’un grossier camionneur vint importuner le jeune Cody en raison de son jeune âge, Hickok prit sa défense en terrassant l’agresseur d’un solide coup de poing.
Quelques années plus tard, Hickok conduisait un chariot de marchandises lorsqu’il connut un combat contre un grizzly. Il acheva l’animal à coups de revolver mais seulement après avoir été sérieusement blessé. En guise de convalescence, son patron de la Wells, Fargo & Co l’envoya s’occuper de l’entretien de la station Rock Creek dans le Nebraska. Il s’agissait d’un relais utilisé par les immigrants traversant le pays ainsi que par le service postal du Pony Express.
David McCanless venait à peine de vendre la station à la compagnie de transport Wells, Fargo & Co et lorsque celle-ci retarda les délais de paiement, il se mit en colère. Or, le nouveau propriétaire, Horace Wellman, venait de s’installer dans les bâtiments avec sa jeune famille. C’est contre lui que McCanless tourna sa fureur.
En juillet 1861, lorsque McCanless se présenta devant la demeure armé d’un fusil de chasse et de deux acolytes, eux aussi armés jusqu’aux dents, il se retrouva devant l’impassible Hickok. Devant l’agressivité de l’ancien propriétaire et aussi un soi-disant geste de trop, Hickok dégaina et l’abattit sur place devant les yeux de la famille Wellman. Sans hésiter, Hickok sortit par la porte de devant pour abattre les deux amis de McCanless. Trois morts en quelques secondes. L’événement marqua à ce point l’imaginaire que les récits s’amplifièrent rapidement, de même que le nombre des victimes. Encore aujourd’hui, les historiens sérieux doivent faire un travail de démystification afin de ramener l’incident dans une meilleure contextualité. Une fois les contes de fée écartés, il n’en reste pas moins que trois victimes en quelques secondes demeure un fait d’arme assez exceptionnel.
Dans les faits, Hickok se livra ensuite à des avocats en leur déclarant sèchement qu’il venait simplement de tuer trois hommes. Peu après, il fut acquitté pour légitime défense.
Suite à l’incident de la Station de Rock Creek, qui fit de lui un homme célèbre, Hickok aurait participé d’une manière quelconque à la Guerre de Sécession, qui s’était déclenchée quelques mois plus tôt avec les premiers coups de canons tirés sur le Fort Sumter en Caroline du Sud. En réalité, cette période de la guerre civile américaine possède encore ses secrets bien gardés pour les historiens désireux d’en apprendre davantage sur le héros de l’Ouest. Certains ont prétendu qu’il avait agis à titre d’espion ou de tireur d’élite pour le compte de l’armée nordiste. D’autres le placent même à la célèbre Bataille de Wilson’s Creek. Quoiqu’il en soit, il semble en être revenu avec son célèbre surnom de Wild Bill.
Après la fin de la guerre, on le retrouve à Springfield, dans le Missouri, où il s’adonne au jeu. C’est là, le 21 juillet 1865, qu’il tue Dave Tutt lors d’un duel. On a longtemps prétendu que l’incident était le résultat d’un trio amoureux mais la découverte de documents d’archives dans les années 1990 démontre qu’il en fut tout autrement. Dans un article antérieur d’Historiquement Logique on a d’ailleurs approfondi la question.
Tutt aurait usé de sa mesquinerie pour tenter de soutirer de l’argent à son adversaire de poker. Dans la rue, selon les témoins, il aurait même tenté de dégainer le premier mais Wild Bill fut si rapide que les deux coups de feu ne produisirent qu’une seule détonation. (pour plus de détails sur ce duel, consulter l’article Le premier duel de Wild Bill Hickok)
Encore une fois, Hickok fut acquitté pour légitime défense. Il se présenta aux élections de marshal à Springfield, mais perdit la course. Néanmoins, sa renommée commençait drôlement à intéresser certaines personnes désireuses de régler des problèmes reliés à l’ordre public.
En septembre 1865, un journaliste du nom de Nichols vint à sa rencontre pour l’interroger sur ses exploits. On ignore ce que Hickok a pu lui dire, mais Nichols a vraisemblablement gonflé la facture dans son article qui fut publié seulement en février 1868. Du jour au lendemain, le texte fit de Wild Bill une légende nationale.
Après avoir remis l’ordre dans un fort militaire hautement indiscipliné, Wild Bill se retrouva à travailler comme éclaireur sur les plaines, parfois en compagnie de son ami Buffalo Bill Cody.
Quelques années plus tard, après la parution de l’article de Nichols, c’est à pied que Wild Bill revint auprès de ses collègues, s’appuyant sur une lance indienne qu’il avait reçu dans la jambe. En dépit de cette blessure, la liste de ses victimes s’était allongée. Mais cette lance semblait avoir mis un terme à sa carrière d’éclaireur puisque la blessure lui aurait enlevé une certaine souplesse, ce qui était néfaste pour la forme physique parfaite que devait posséder un bon éclaireur.
Le 23 août 1869, Hickok fut élu shérif du Ellis County, Kansas. Dans l’exercice de ses fonctions, il tua trois autres hommes lors de duels mémorables. Une chose semblait constamment se répéter : ses adversaires ne s’en sortaient jamais vivant.
Bien sûr, avec une telle réputation il se retrouva avec de nombreux ennemis. Certains voulaient l’abattre par vengeance, d’autres par simple prestige. Après quelques tentatives contre sa vie, Wild Bill se déplaça au centre même des larges rues des villes à bétail, un endroit où il était plus facile pour lui de voir venir les adversaires plutôt qu’en marchant sur les trottoirs. Et il y avait longtemps qu’il s’assoyait constamment le dos au mur, peu importe l’endroit où il se trouvait. Bref, il ne faisait confiance en personne.
Après l’assassinat du Marshal Tom Smith à l’automne 1869, la ville d’Abilene, au Kansas, engagea Hickok pour nettoyer les rues de ses pires éléments. Le tenancier de saloon Ben Thompson, un tueur renommé qui semait la terreur, s’inclina pourtant devant Hickok. Le nouveau marshal parvint à le convaincre de retirer un dessin obscène qu’il avait ajouté à son affiche de saloon, ce qu’aucun autre homme de loi n’avait réussi auparavant.
C’est aussi à Abilene que Wild Bill connut son dernier duel en carrière. Au soir du 5 octobre 1871, il se trouvait dans un bar lorsqu’on entendit des coups de feu à l’extérieur. Phil Coe était à l’origine de ces tirs. Ivre, il semblait avoir décidé de s’amuser avec des copains.
Après avoir dit à son adjoint et ami Mike Williams de rester où il se trouvait, Wild Bill sortit pour aller voir ce qui se passait.
Ainsi se retrouva-t-il en face d’une foule de fêtards, dont Coe qui tenait encore son revolver en main, l’air menaçant. Lorsque Hickok lui demanda pourquoi il avait déchargé son arme, Coe répliqua en ricanant qu’il venait de tirer sur un chien enragé. Devant le récalcitrant qui refusait de ranger son arme, Wild Bill dégaina ses deux revolvers et les deux hommes tirèrent presque simultanément. Coe s’écroula pour ne plus jamais se relever.
Toutefois, le véritable drame se produisit au cours des secondes suivantes. Dans sa vision périphérique, Wild Bill, qui jouissait de reflexes aiguisés, vit un homme s’approcher en courant. Croyant sur le coup qu’il s’agissait d’un ami de Coe venant à son secours, sa réaction instinctive le poussa à abattre la sombre silhouette. Malheureusement, il s’avéra que le marshal venait d’abattre son ami et adjoint Mike Williams.
Pour la première fois de sa vie, Hickok semblait avoir compris que son immense talent pouvait aussi comporter de sérieux inconvénients.
Hickok ne se pardonna jamais cette erreur. Ce fut d’ailleurs son dernier emploi en tant que représentant de l’ordre, bien qu’on réclamait ses talents dans plusieurs localités. Certains témoins ont d’ailleurs prétendu avoir vu pleurer ce dur à cuire sur les lieux du drame.
Au cours de l’été 1873, Buffalo Bill vint lui faire une offre de 500$ par semaine pour monter sur scène avec lui. C’est que depuis peu, ce dernier connaissait un succès impressionnant depuis qu’un auteur l’avait rendu célèbre avec quelques romans. Pour répondre à l’engouement, le jeune éclaireur montait donc sur scène dans l’est du pays pour raconter aux citadins des histoires typiques de l’Ouest.
Fauché, Hickok accepta malgré lui en dépit de son absence de talent pour le spectacle. En fait, Wild Bill était d’une personnalité sauvage et authentique incapable de jouer la comédie, que ce soit sur scène ou sur les plaines. Il s’adapta difficilement à ce jeu artificiel, au point de tirer trop prêt les comédiens avec les armes chargées à blanc, leur occasionnant ainsi des brûlures.
Un soir, après l’avoir averti de s’avancer davantage sur la scène pour être vu par le public, les techniciens braquèrent de gros projecteurs dans sa direction. N’en faisant qu’à sa tête, Wild Bill se rendit en coulisse pour charger ses revolvers avec de vraies cartouches et revint pour démolir les projecteurs en pleine représentation.
Durant les quelques mois de sa participation à la troupe de Cody, il s’amusa néanmoins avec quelques beautés citadines, attirant la gente féminine telle une rock star. Il ne manqua pas non plus de se battre dans les hôtels avec ces citadins qui se moquaient des habits de son ami Buffalo Bill.
De retour dans l’Ouest, Hickok traîna dans les maisons de jeu pour tenter de se refaire financièrement. Certains ont tenté d’expliquer son retrait de l’action par un problème oculaire, mais rien de concret ne vient appuyer cette thèse. Il pourrait être davantage vraisemblable qu’après une vie aussi intense il connaissait tout simplement ce « coup d’âge » de la fin trentaine.
Le 5 mars 1876, c’est à Cheyenne qu’il épousa Agnès T. Lake, une veuve plus âgée que lui qui avait œuvré dans le milieu du spectacle. À l’aube de ses 39 ans, probable qu’il pensait à réorganiser sa vie autrement et à se ranger pour de bon. Souhaitant probablement donner un coup de pouce financier à son mariage, Wild Bill répondit à l’appel de la ville champignon de Deadwood, dans le Dakota. Peu après son arrivée, au soir du 2 août 1876, il s’assied avec des amis pour une partie de poker au Number Ten, un saloon appartenant à un dénommé Carl Mann. Pour la première fois, il dérogea à sa règle de s’asseoir le dos au mur, acceptant plutôt de prendre la dernière place disponible, celle où il tournait le dos à la porte arrière de l’établissement.
Et c’est ainsi que Hickok ne vit jamais la quarantaine. Ce soir-là, un dénommé Jack McCall, un jeune homme accusant des troubles de comportement, entra pour lui tirer froidement une balle dans la tête.
En dépit de ce caractère tranchant, Wild Bill Hickok fut l’un des rares représentants de l’ordre du 19ème siècle à mettre sa personnalité rebelle et sans peur au service de la justice.
En 1930, un mémorial fut inauguré dans sa ville natale de Troy Grove, en Illinois. Bien que ses méthodes intransigeantes ne correspondent plus aux standards du maintien de l’ordre que nous connaissons aujourd’hui, il n’en reste pas moins que Wild Bill est toujours considéré comme le premier représentant de l’ordre à s’être démarqué pour sa bravoure dans l’histoire américaine.
En 2008, Barack Obama, alors candidat démocrate aux élections présidentielles, affirma dans un discours prononcé à Springfield, Missouri, être le cousin éloigné de 6ème génération de Wild Bill Hickok. Les historiens se mirent aussitôt à l’œuvre. Après vérification, il s’avéra que l’affirmation était véridique. Quelques mois plus tard, Obama était élu 44ème président des États-Unis.
La même année, la ville de Mendota, Illinois, érigea une statue de bronze grandeur nature en l’honneur de Hickok. Le 27 mai 2009, la municipalité de Troy Grove lui emboîta le pas avec un nouveau bronze.
En 1995, l’excellent Jeff Bridges s’introduisit dans la peau de Wild Bill pour le cinéma. Sa ressemblance avec le justicier du 19ème siècle pouvait étonner, de même que son interprétation laissant transparente la personnalité robuste de Hickok, mais le scénario laissait à désirer sur le plan historique. Le film lui prêtait une relation avec Calamity Jane, tandis que dans la réalité il ne lui avait jamais adressé la parole.
Aujourd’hui, une partie du musée de Buffalo Bill situé à Cody dans le Wyoming est consacré à Wild Bill Hickok.
Bibliographie
ROSA, Joseph G. They called him Wild Bill, the life and adventures of James Butler Hickok. Norman, Oklahoma, 1964, 278 p.
ROSA, Joseph G. Wild Bill Hickok, the man and his myth. University Press of Kansas, 1996, 276 p.
CARTER, Robert A. Buffalo Bill Cody, the man behind the legend. John Wiley & Son, New York, 496 p.
mac lean Admin
Messages : 3253 Date d'inscription : 18/04/2011 Age : 76 Localisation : Haguenau.67
Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Lun 12 Jan 2015 - 12:05
Merci Lawrence , j'en apprend tout les jours sur Hickok.
Général Lawrence Sisco Admin
Messages : 4603 Date d'inscription : 15/01/2012 Age : 62 Localisation : au Sud... (de l'Eure et Loir)
Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Dim 27 Mar 2016 - 17:44
La jeunesse de Wild Bill (traduit par mes soins, ça vaut ce que ça vaut...)
Dans ce texte on trouve une différence de situation à propos de sa première rencontre avec Buffalo Bill Cody... Mais à l'époque et surtout lorsqu'il s'agit de légendes de l'ouest, les récits diffèrent, même de la bouche des principaux intéressés.
Début de vie Hickok est né à Homer, Illinois (maintenant Troy Grove, Illinois), le 27 mai 1837, de William et Polly (Butler) Hickok. Il est un descendant connu du révérend John Robinson. Hickok était un bon tireur dès jeune âge et a été reconnu localement comme un tireur d'élite exceptionnelle avec un pistolet. Les photographies d’Hickok le représentent avec les cheveux foncés, et toutes les descriptions contemporaines confirmer qu'il avait les cheveux roux. En 1855, à 18 ans, Hickok a déménagé à Leavenworth dans le territoire du Kansas, à la suite d'un combat avec Charles Hudson, au cours de laquelle les deux sont tombés dans un canal (chacun pensait à tort qu'il avait tué l'autre). Hickok a fui la région et a rejoint le « général » James Henry Lane, la « Lane's Kansas Brigade » (également connu sous le nom "Jayhawkers"), un groupe d'autodéfense alors actifsur le territoire du Kansas. C’est alors qu'il rencontra un jeune Jayhawker de 12 ans nome William Cody (plus tard connu comme "Buffalo Bill") qui, malgré son âge, était un éclaireur pour l'armée américaine pendant la guerre de l'Utah.
Surnoms, alias et noms de guerre Alors que dans le Nebraska, Hickok a été dérisoirement appelé "Canard Bill" (en particulier par la connaissance de l'entreprise David McCanles et de ses associés). Il se laissa pousser la moustache suite à l'incident McCanles (voir ci-dessous) et en 1861 a commencé à se faire appeler "Wild Bill ". Un autre surnom Hickok avant 1861 était " Shanghai Bill ", donné par les Jayhawkers à cause de sa taille et de s carrure mince. Hickok a utilisé le nom William Hickok à partir de 1858 et William Haycock pendant la guerre civile et a été arrêté en tant Haycock en 1865. Il reprend ensuite en utilisant son vrai nom de James Hickok. La plupart des journaux ont continué à utiliser le nom de William Haycock en se référant à "Wild Bill" jusqu'à 1869. Les archives militaires après 1865 ont utilisé son nom correct, tout en reconnaissant qu'il était aussi connu comme Haycock.
Début de carrière En 1857, Hickok a réclamé 160 acres (65 ha) dans le comté de Johnson, Kansas (dans ce qui est maintenant Lenexa). Le 22 Mars, 1858, il a été élu comme l'un des quatre premiers constables de Monticello Township, Kansas. En 1859, il rejoint le Russell, Waddell, & Majors, compagnie de fret, la société mère du Pony Express. L'année suivante, il a été grièvement blessé par un ours en conduisant une équipe de fret d'Indépendance, Missouri, à Santa Fe, Nouveau-Mexique. Selon le récit de Hickok, il a trouvé la route bloquée par un ours et de ses deux oursons. Démonter, il s’est approché de l'ours et lui a tiré un coup de feu dans sa tête, mais la balle a ricoché sur son crâne, exaspérant l’animal. L'ours a attaqué, écrasant Hickok avec son corps. Hickok a réussi à tirer un autre coup dans la patte de l'ours. L'ours a alors saisi son bras dans sa bouche, mais Hickok a été en mesure de saisir son couteau et de lui trancher la gorge, le tuant ainsi. Gravement blessé avec la poitrine écrasée, l'épaule et le bras abimés, Hickok fut été alité pendant quatre mois, avant d'être envoyé à la station de Rock Creek dans le Nebraska pour y travaille tandis qu'il récupérait. Cette station du poney express a été construite sur un terrain que la société avait récemment acheté à un local nommé David McCanles. En 1861, Hickok a peut-être tué David McCanles au Creek Rock Station, près de Fairbury, Nebraska, un arrêt de diligence le long de la piste de l'Oregon. Le 12 Juillet, 1861 David McCanles est allé au bureau de la station afin d'exiger un paiement en retard sur la propriété auprès du directeur de la station, Horace Wellman. McCanles aurait menacé Wellman, et soit Hickok (qui se cachait derrière un rideau) ou Wellman l'a tué.
Guerre civile et scoutisme Lorsque la guerre civile a éclaté en Avril 1861, Hickok signé comme charretier pour l'armée de l'Union à Sedalia, Missouri. À la fin de l'année, il était un wagon-maître, mais en Septembre 1862, il a été libéré pour une raison non divulguée. Hickok a rejoint la Kansas Brigade du général James Henry Lane et il a servi pendant un temps, où il a re-rencontré Buffalo Bill Cody, qui servait comme éclaireur. Il n'y a pas d'enregistrements connus de ses allées et venues pour plus d'un an, mais au moins une source prétend qu’Hickok travaillait comme un espion de l’Union sur le territoire confédéré durant cette période. À la fin de 1863, il a été ouvertement employé par le grand prévôt du sud-west Missouri en tant que membre du Springfield Missouri detective police. Les fonctions d’Hickok comme détective de la police étaient basiques : compter le nombre de troupes en uniforme trouvé potable pendant le service, vérification des licences d'alcool des hôtels et traquer les individus en dette avec l'armée de l'Union à court d'argent. En 1864, Hickok, ainsi que plusieurs autres services de détective police, n'a pas été payé pendant un certain temps. Soit il a démissionné ou a été réaffecté, il a été embauché par le général John B. Sanborn cette année en tant que scout (à cinq dollars par jour, plus un cheval et de l'équipement). En Juin 1865 Hickok a passé son temps à Springfield comme joueur. Selon l'histoire du comté de Greene, Missouri, publié en 1883, Hickok à cette époque était « par nature un ruffian ... un ivrogne, compagnon de fanfarons, qui se plaisait à pour effrayer les hommes nerveux et les femmes timides. »
will of the wolf farm
Messages : 74 Date d'inscription : 18/07/2013 Age : 62 Localisation : Monts du Forez
Sujet: Monsieur James Butler Hickok Lun 1 Mai 2017 - 6:19
quelques photos au musée Gene Autry qu'un ami FB à poster
WWF
mac lean Admin
Messages : 3253 Date d'inscription : 18/04/2011 Age : 76 Localisation : Haguenau.67
Sujet: Re: Monsieur James Butler Hickok Lun 8 Mai 2017 - 13:43