C'est étrange. Les gens sur la couverture ne sont pas des gens qui survivent mais des gens qui vivent.
Faudrait alors comprendre que, selon l'auteur, sans son portable et son paquet de chips on passerait direct à la survie. C'est bien sûr une idée à la mode chez les survivalistes...et donc un argument de vente.
Curieusement il y a encore quelques groupes humains qui vivent dans la nature parfaitement heureux si on va pas les faire suer et ils étaient bien plus nombreux avant de se faire massacrer.