Et !! bonjour

Bonjour du sud  .
Je passais par ici et je me suis dit tien, il y a quelques copains qui campent là !!  arrête toi boire un coffé et les saluer ,  comme en plus c'est le forum de Mac et qu'il a vécu dans ton patelin, je renouvelle mon bonjour .

Salut Gringo ,ne serait ce pas à Frontignan par hasard ??

Oki el "gringo" et il y a toujours du bon café chez el gringo


à plus

Oui Mac ,La Peyrade Frontignan  


AVEC MODERATION





La légende raconte que le Muscat de Frontignan était le vin préféré d’Hercule.

Il l’appréciait tellement qu’il en essorait la bouteille pour la boire jusqu’à la dernière goutte !

D’où le forme aujourd’hui striée de la bouteille de ce muscat.

Et pour faire OLD WEST  THOMAS JEFFERSON l'adorait aussi et pour le bicentenaire de sa venu a Frontignan  cette bouteille .

On le disait "" Thomas Jefferson , chef d'État, vigneron, œnophile ""




Alors qu'il était ambassadeur à Paris (1784-1789), Thomas Jefferson est envoyé à Aix-en-Provence dont les eaux minérales doivent l'aider à soigner son poignet cassé. Il décide, alors, de visiter la région : Avignon, Nîmes, Montpellier, Sète, Agde et Frontignan, où il arrive le 12 mai 1787. Il est reçu par le docteur Marc-François Lambert, négociant en vin, futur maire de la ville (1790-1792) et loge chez lui dans la rue Boucarié. Thomas Jefferson qui se passionnait pour la culture de la vigne découvre, alors, le muscat.
"Je vous dois mille remerciements et je vous les rends de tout mon cœur, de la réception hospitalière et honnête que vous avez bien voulu me faire chez vous", écrit-il à son hôte le 6 juillet 1787, accusant réception de 283 bouteilles de vins : "Je leur trouve toutes les bonnes qualités pour lesquelles vos vins sont si renommés." Le 27 juillet de la même année, il présente ainsi le docteur Lambert au comte de Moustiers : "C'est un bon médecin plein de bon sens, comptant plus sur la production de sa vigne que sur sa profession." Par la suite, les deux hommes vont continuer à correspondre surtout pour des commandes de vin muscat dont Jefferson devient un fervent ambassadeur.
Non seulement il s'en fait expédier pour lui, à Paris, par la messagerie royale, puis aux États-Unis, mais il en fait la commande pour d'autres : le comte de Moustiers à qui, écrit-il au docteur Lambert, "j'ai proposé de tâcher d'introduire le goût pour votre vin en Amérique" et Georges Washington : "Quoique bien éloigné de vous, monsieur, je suis encore à portée de recevoir de vos excellents vins. Ayez la bonté donc de m'en expédier dix douzaines de bouteilles pour notre président général Georges Washington et cinq douzaines pour moi, du blanc et du rouge, mais du dernier en bonne proportion. Les emballages des dix douzaines doivent être séparément faites et étiquetées G.W. et les cinq douzaines T.J. pour décider la partie qui doit supporter les malheurs du voyage" (lettre du 6 septembre 1790).

Tu vois Mac tu pourras dire que tu as foulé les pas de cet homme d'ETAT  

Hey, bienvenue dans l'Ouest, l'ami